Après deux ans d’inactivité,la célèbre compétition cycliste,la Tropicale Amissa Bongo a repris ses droits. Dans le septentrion où le premier coup de pédale a été donné,la Tropicale est une aubaine pour les opérateurs économiques, qui voient les chiffres se fructifiés de façon très considérable.
Au-delà de l’engouement suscité,la Tropicale Amissa Bongo c’est l’opportunité pour les opérateurs de renflouer les revenus. C’est le cas des structures hospitalières. À Bitam, les heures qui ont précédé le coup d’envoi de la première étape,on a vu tous les hôtels être pris d’assaut.
Du centre-ville au quartier Bitam 1,en passant par Mongomo Ayat, difficile de se faire une place dans un hôtel. Même dans les auberges de fortune, aucun lit disponible. Comme s’il fallait que la Tropicale Amissa Bongo refasse surface pour que la ville des trois frontières retrouve un nouveau souffle du moins sur le plan économique surtout en cette période marquée par une crise économique sans précédent.
Pourtant, la ville qui est dotée de structures hôtelières adéquates a présenté un meilleur visage au niveau de l’accueil du comité d’organisation de l’événement mais l’affluence fût très considérable.